Bamako, Bissau, Nouakchott, Dakar ; au sein de ces capitales africaines, émergent des portraits diaphanes d’habitants rencontrés dans les rues. Leur couleur de peau s’efface, leur vision s’obstrue, leur visage exprime l’ineffable. Fantômes, ils se diluent dans la lumière, se dissipent, s’évaporent. Participation libre
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