Dans la ville blanche | Le gardien de voitures

logobd.jpgDans la ville blanche, une ambiance fiévreuse règne à coup de klaxons de voitures, de bruits de mobylettes pétaradantes et d’habitants foulant ses trottoirs, le pas pressant, le visage fermé, le regard insistant.

Une mouette au large, un gosse qui fait la manche, les pickpockets à l’affût d’une victime facile, une charrette tirée par une mule, une avenue embouteillée : marcher Dans la ville blanche, revient à explorer un ouvrage sur la psychologie et la sociologie.

Entre passions et routine, quotidien et vocation, angoisses et certitudes, drames et espoirs, ici Dans la ville blanche, chacun relate une histoire extraordinaire. Son histoire. Ses sentiments.

A l’opposé des clichés touristiques et des représentations négatives, ce web documentaire invite à la (re)découverte, visuelle et sonore, de ces Hommes et ces Femmes qui constituent le visage de Casablanca.

Un visage aussi passionnant qu’inquiétant pour moi qui suis née et qui vis Dans la ville blanche.

A Vincent Luc,

Le gardien de voitures | Hassan

Hassan, le troisième portrait pour Dans la ville blanche, est aussi le plus éprouvant.

Il m’a fallu de longues semaines de persuasion pour bénéficier d’un peu de temps avec Hassan, environ 30 min en tout (photographie et enregistrement de son témoignage) c’est très peu.

Je me rappelle d’un homme méfiant et inquiet par ma démarche non rémunérée, car je tiens à le préciser, je ne paie pas pour recueillir ces témoignages.

Ces conditions difficiles m’ont obligé à l’enrichir par plus de détails et d’angles originaux.

Grâce à lui, je regarde les gardiens de voiture avec plus de compassion.

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