Liaisons urbaines / volet 2 – « Place-fontaine de N’Djamena »

Le regard d’Abdoulaye Barry

En parallèle des opérations de requalification urbaine, le programme Liaisons urbaines passe des commandes artistiques à des photographes-auteurs afin qu’ils apportent leur regard particulier sur les thématiques explorées.

A N’Djaména, Abdoulaye Barry a réalisé une série consacrée aux usages quotidiens de l’eau potable dans le cadre domestique. Il en a suivi les parcours, depuis les bornes-fontaines d’où elle est distribuée, jusqu’aux multiples situations de vie qu’elle génère.

Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry
Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry

Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry
Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry

Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry
Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry

Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry
Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry

Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry
Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry

Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry
Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry

Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry
Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry

Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry
Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry

Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry
Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry

Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry
Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry

Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry
Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry

Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry
Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry

Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry
Liaisons urbaines © Abdoulaye Barry

Le programme

Liaisons urbaines est un programme de mise en valeur d’espaces à usage collectif de villes africaines par des inter-ventions qui croisent aménagement urbain, design, art et patrimoine en associant habitants, opérateurs culturels et concepteurs du cadre de vie et des arts visuels (designers, architectes, plasticiens).

Le programme s’intéresse aux places, terrains, trottoirs, espaces ouverts, espaces communautaires qui jouent un rôle central dans les activités sociales, économiques et culturelles des villes afri-caines, mais semblent négligés dans un contexte de croissance ur-baine qui privilégie les infrastructures, l’habitat et les équipements.

Inscrit dans une échelle de proximité, le programme a pour objectif d’améliorer le cadre de vie urbain par des interventions rapides et de coût raisonnable, agissant en parallèle d’opérations urbaines plus étendues, lourdes et onéreuses se déroulant dans un temps plus long.

Les étapes

2012-2013 : la première étape, intitulée « Manger à Porto Novo » (Bénin), axée sur la thématique de la restauration de rue, a porté sur le réaménagement de la place vodoun Agonsa Honto à Porto-Novo (Bénin).

2013-2014 : la deuxième étape, « Place-fontaine de N’Djaména » (Tchad), axée sur la question des usages de l’eau en ville, a porté sur la réaménagement de la place de Chagoua, espace de quartier et pôle d’activités économiques et culturelles organisé autour d’activités de distribution de l’eau.

La suite du programme abordera les questions de déambulation, de jeu ou de communication dans l’espace public dans d’autre ville du continent ou de la Caraïbe. La prochaine étape devrait prendre place à Casablanca (Maroc) en 2014.

Entre-temps le projet sera présenté, sous forme de conférence et d’exposition, au congrès de l’Union Internationale des Architectes qui se tiendra à Durban (Afrique-du-Sud) en août 2014.

Pilotage du programme Liaisons urbaines

  • Franck Houndégla – direction artistique
  • Valérie Lesbros – Institut Français, Paris
  • Baba Keita – directeur de l’Ecole du patrimoine africain – EPA
  • Fiona Meadows – Cité de l’architecture et du patrimoine
  • Michel Bouisson – VIA
  • Porteur du projet : Institut français du Tchad
  • Coordination artistique et technique de l’opération :
    Abdelkadre Badaoui, plasticien-designer-constructeur
  • Concepteurs associés :
    Malloum Hissein Mallah Adam et Bertin Fali Padjonré, architectes-urbanistes

Liaisons urbaines est soutenu par le programme Afrique et Caraïbes en création de l’Institut français – Paris, en partenariat avec l’Ecole du patrimoine africain – EPA, et la collaboration de la Cité de l’architecture et du patrimoine – Paris.